Commandé par le gouvernement en mars 2018 et remis quelques mois avant la démission du ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot, le rapport devait éclairer l’exécutif sur les moyens d’entretenir les compétences de la filière nucléaire. Estampillé « confidentiel défense », le document a été partiellement déclassifié fin mars, dans le cadre de la commission d’enquête sur la souveraineté énergétique en 2025.