Près d’un milliard de personnes vivent avec moins de un dollar par jour. Les politiques destinées à lutter contre la pauvreté semblent souvent incapables d’améliorer leurs conditions de vie. Cet échec pourrait-il être dû aux failles des théories qui sous-tendent ces programmes plutôt qu’au caractère écrasant de la tâche ?
C’est cette hypothèse que défend cet ouvrage. Les experts ont pris l’habitude de décider à la place des pauvres de ce qui est bon pour eux sans prendre la peine de les consulter. Abhijit V. Banerjee et Esther Duflo ont initié la démarche inverse. À distance des réflexes partisans, ce livre aborde ainsi le défi du combat contre la pauvreté comme une série de problèmes concrets qui, une fois correctement identifiés et compris, peuvent être résolus un à un.
Face à la montée des inégalités, aux désastres politiques et aux catastrophes environnementales, les auteurs montrent que tout n’est pas perdu à la condition de dresser, d’abord, un constat honnête. Ces pages analysent où et quand les économistes ont échoué, aveuglés par l’idéologie, et traquent les fausses évidences sur les questions d’immigration, de libre-échange, de croissance, d’inégalités, de changement climatique.
Si cet ouvrage renverse nombres d’idées reçues, il est aussi un appel à l’action. Il répond à l’urgence de temps troublés en offrant un panel d’alternatives aux politiques actuelles. Car une bonne science économique peut faire beaucoup. Appuyée sur les dernières avancées de la recherche, sur des expériences et des données fiables, elle est un levier pour bâtir un monde plus juste et plus humain.
Si Thumpa peut venir d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud, elle vit dans un village imaginaire créé par Cheyenne Olivier. Dans cet album, les enfants protégeront avec elle la belle forêt de son village. Ainsi, tous les habitants seront sensibilisés à l'importance de la protection de l'environnement. Ce sera l'occasion de montrer d’autres récits et images de la pauvreté, loin des préjugés, mythes et caricatures dont les pauvres font trop souvent l’objet.
À l’attention des adultes : si vous souhaitez accompagner la lecture des plus jeunes et répondre à leurs questions, retrouvez « Les mots d’Esther Duflo pour comprendre la pauvreté » à la fin du livre.
Des livres qui invitent à réfléchir autrement et à parler ensemble d’un sujet qui nous concerne tous.
Si Seleni peut venir d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud, elle vit dans un village imaginaire créé par Cheyenne Olivier. Dans cet album, les lecteurs seront confrontés, aux côtés du personnage principal, aux répercussions de la sécheresse et découvriront la nécessité de produire des cultures adaptées au climat de leur région. Ce sera l'occasion de montrer d’autres récits et images de la pauvreté, loin des préjugés, mythes et caricatures dont les pauvres font trop souvent l’objet.
Des livres qui invitent à réfléchir autrement et à parler ensemble d’un sujet qui nous concerne tous.
À l’attention des adultes : si vous souhaitez accompagner la lecture des plus jeunes et répondre à leurs questions, retrouvez « Les mots d’Esther Duflo pour comprendre la pauvreté » à la fin du livre.
Si Imeuni et Tsongai peuvent venir d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud, ils vivent dans un village imaginaire créé par Cheyenne Olivier. À leurs côtés, les lecteurs découvriront qu'il n'est pas si évident de monter une entreprise sans moyen ni diplôme lorsque l'on vit dans un pays pauvre et ce malgré les soi-disant solutions miracles présentées, telles que le microcrédit. Ils apprendront surtout que toutes les personnes pauvres ne se rêvent pas en chef d'entreprise mais cherchent avant tout un emploi stable. Ce sera l'occasion de montrer d’autres récits et images de la pauvreté, loin des préjugés, mythes et caricatures dont les pauvres font trop souvent l’objet.
Des livres qui invitent à réfléchir autrement et à parler ensemble d’un sujet qui nous concerne tous.
À l’attention des adultes : si vous souhaitez accompagner la lecture des plus jeunes et répondre à leurs questions, retrouvez « Les mots d’Esther Duflo pour comprendre la pauvreté » à la fin du livre.