Les lecteurs potentiels pourraient se demander pourquoi inclure un livre explorant « le jihadisme et la famille » dans une série consacrée aux « mouvements sociaux au XXIe siècle » ? Les mouvements sociaux sont généralement abordés en termes d’activisme, soit encadré par des opportunités (modèles d’action instrumentale/rationnelle), soit par des valeurs et des expériences (approches culturelles des mouvements). Où se situent le djihadisme et les expériences familiales dans cette matrice ?